mardi 17 juin 2008

791 - Le citoyen de base est un minable

Le socle de la société est composé d'hommes ordinaires sans histoires ayant des préoccupations à la hauteur de leurs pieds.

Minus de naissance, ils suivent l'ornière avec des espoirs "d'ascension bancaires", attendent pendant des années leurs promotions d'employés, de comptables, leurs augmentations de salaire de chauffeurs-routiers, leurs réductions d'impôts d'ouvriers spécialisés ou de patrons d'entreprises, aspirent à rembourser leurs maisons achetées à crédit, passent leur temps libre à s'engraisser le corps tout en se vidant l'esprit, sont contrariés -voire franchement énervés- par une rayure sur la portière de leur voiture, vivent avec des soucis d'assurés, meurent avec des rêves de retraite qui ne sortent jamais de leurs têtes. Chez eux la perspective de la retraite est comme un appendice mental, un mystère quasi génétique dont ils ne parviennent définitivement pas à faire abstraction. Ils appellent cela un "acquis social". Pour eux c'est sacré, la retraite. Tellement essentiel qu'ils passent leur existence à l'attendre.

Précisons que ces minables qui travaillent toute leur vie pour se constituer une retraite meurent souvent avant la retraite, ce qui prouve que la justice divine existe, au moins en ce qui concerne les abrutis.

Du berceau à la tombe ces citoyens ordinaires rasent le sol de leurs pensées triviales, caressant des chimères aussi volatiles que des gains de LOTO, aussi clinquantes, plates, vulgaires, superficielles que des écrans de télévision à plasma.

Pour eux les vacances sous les cocotiers représentent le sommet de la félicité. Ils sont fiers de leurs automobiles. Ils vont aux enterrements avec des lunettes noires, fêtent leur anniversaire tous les ans de leur vie, se promènent aux Champs-Elysées en famille, sont farouchement opposés à la chasse mais pas contre leur "steak" du midi. Bien entendu leurs habitudes alimentaires sont infâmes, grossières, voire ignobles. Mais eux ne voient rien, c'est le principal.

Leur morale se borne au code civil. Leur bonté est basée sur les arguments commerciaux des publicistes. Leur vue humaniste est réglée sur les fluctuations économiques. Les pieds bien sur terre, jamais ils ne décollent.

Il faut toutefois reconnaître leurs mérites : assoiffés de confort aussi bien mobilier qu'intellectuel, ils font d'excellents patriotes, de bons ouvriers, des pions dociles pour le marketing, la politique, la télévision.

Ce sont les citoyens de base. Ils sont gentils, aimables, parfois même assez courtois. Il n'empêche que ce sont des minus, des infirmes de l'esprit, des atrophiés de l'âme, des pauvres types pour qui la mort se résume à des préoccupations strictement funéraires : le choix du "prestataire de services", voilà ce qui compte pour eux.

17 commentaires:

  1. Il est certain que s'il n'existait pas de gens à genoux,il n'y aurait pas de puissants... et de minables comme vous dîtes.
    Vous vous gorgez de noblesse d'esprit mais je ne vois aucune noblesse à écraser ceux qu'on écrase depuis des milllénaires. Il serait plus judicieux, plus courageux d'étudier les raisons de cette soumission volontaire. Mais vous devez être assez intelligent pour l'avoir fait, enfin je l'espère pour vous.
    Il est dommage de gacher cette finesse d'esprit en propos d'aristocrate stérile, on ne fera pas évoluer la société en continuant dans ce mépris tellement connu, usité, depuis que l'homme existe. Quelle gloire à écraser celui qui n'a jamais appris à être debout ? Il faut inover, créer, s'élever au dessus de ces bassesses qu'engendrent les différences entre les classes sociales.
    Lisez Chomsky, lisez Serge Tchakhotine... ils ont étudié eux le viol de la pensée.
    Ana.

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  2. Ana,

    Mon "mépris" comme vous dites est salutaire : il permet de faire prendre conscience aux abrutis (que j'évoque en termes généraux, voire caricaturaux) qu'ils sont des abrutis. Les moins atteints par l'abrutissement -ou les plus sensibles à la lumière- réagiront avec fruit.

    Moi je possède une chose qui me distingue glorieusement de mes semblables déchus : une vue perçante qui fait que je vise l'horizon et non mes orteils.

    Je suis là pour apprendre aux hommes demeurés dans leur caca post-natal à grandir, non pour alimenter leur graisse, caresser leurs ventres repus. La lumière éblouit toujours les aveugles dès qu'ils commencent à ouvrir leurs yeux. Je n'y peux rien si mes mots semblent brutaux, je ne suis pas responsable du caractère tranchant de la vérité. D'ailleurs la vérité n'est douloureuse que pour ceux qui se sont enfoncés dans les ténèbres de l'hérésie. Plus l'abruti se sera englué dans son abrutisssement, plus cru sera pour lui l'éclair de la vérité.

    Un abruti est avant tout un homme, il a par conséquent en lui quelque germe lumineux susceptible de croître sous la bave izarrienne.

    Il suffit d'arroser avec quelques gouttes de vérité le français moyen pour qu'il sorte la tête du sable. Dès que la tête est à l'air libre, le reste vient avec, petit à petit. C'est le principe de la croissance par le verbe : l'essentiel est de donner l'impulsion originelle.

    Un bon coup de pied au cul suffit en général à réveiller un abruti de base.

    Raphaël Zacharie de Izarra

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  3. Sourire, croyez vous que ce soit aussi facile que ça pour réveiller un abruti ? rire...
    Non, la soumission, la médiocrité, l'emprisonnement de la pensée, l'endoctrinement, datent depuis des siècles. La religion, ou l'idéologie des puissants sont passées maîtres dans l'endormissement des esprits. Et puis si les abrutis de base pour vous citer se réveillaient ? vous rendez vous compte ? Ce serait si dangereux si tout un chacun réclamait sa part de dignité, sa part d'humanité... Non, les consciences seront encore étouffées pendant longtemps, il y a trop d'intérêt en jeu...Mais c'est vrai que c'est dommage, quel gachis d'humanité, quel gachis de beauté, quel gachis d'amour ! les valeurs de solidarité, de compassion, de partage étranglées dans un monde où les hommes sont devenus des robots décérébrés uniquement capables de consommer. Pourtant aujourd'hui je voudrais croire que ça changera, il fait si beau, la nature est si belle, si harmonieuse, comment perdre son temps en vaines représentations.
    Mais vos "semblables déchus" ont la même part d'humanité en eux que vous Raphaël, mais ils ne sont pas conscients, c'est tout... Viser l'horizon comme vous d^tes ce n'est pas croire que vous êtes supérieur, non vous êtes à un niveau différent de conscience...mais je reconnais que c'est souvent dur à accepter. Car la médiocrité fait mal... si mal.
    Mais le mépris n'est jamais salutaire... le mépris rabaisse toujours, celui qui méprise comme celui qui en est victime. Car on ne s'élève jamais et on ne peut regarder l'horizon que si on se place au dessus de cette vanité qui est la mère de tous les vices.
    Le mépris c'est comme la vanité, c'est la peur...
    Mais ce n'est pas un coup de pied aussi bien placé soit il... qui réveillera des millénaires d'inconscient collectif basé sur la peur, donc la violence, donc le mépris, la haine, etc...
    Nous sommes à l'aube de l'humanité, l'homme n'est pas humain... il le deviendra... Malheureusement nous ne serons pas là pour le voir...
    Bonne journée Raphaël.

    Ana.

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  4. Ana,

    Je n'ai de mépris que pour certaines mentalités, pour les foules stupides, pour les pensées corrompues, ineptes, non pour les individus, non pour les êtres pris isolément. Je méprise l'esprit matérialiste, la sottise, la bassesse, je ne méprise pas les personnes.

    Raphaël Zacharie de Izarra

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  5. Bonjour,

    Savoir, c'est comprendre comment la moindre petite chose est liée au tout, aucune entité ne détient sa raison en elle même, aller vers l'autre c'est aller vers soi; et si en "visant l'horizon" vous ne faites que vous distinguer "glorieusement", vous êtes loin du compte.

    En crachant et en vomissant vos "Vérités féroces" vous creusez encore un peu plus ce fossé qui existe entre les différentes classes sociales; vous nourrissez de "l'éclat de votre esprit" cette bêtise que justement vous dénoncez, vous combattez pour elle, à ses cotés vous la faites avancer, et ce presque aussi surement que par le silence...

    Le mépris du peuple n'a jamais été subversif, c'est l'acte politique normatif absolu!

    Enfin je m'abstiendrais d'analyser l'immensité de l'amour que vous portez à votre "moi", puisque évident et hors de propos; quoique...

    Eric

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  6. Eric,

    Je répète que je ne méprise nullement les individus. Je m'étonne d'ailleurs que certains puissent penser une telle chose, certainement après une lecture superficielle de mes textes...

    L'amour béat, mou et stérile que vous semblez prôner est une arme insidieuse de bêtifiement. Le véritable amour est viril, fort, salutaire, fécond. Caresser les sots dans le sens des doigts de pieds ne les fera jamais avancer. Une bonne gifle biblique sera toujours plus salvatrice qu'un "escargotique" AMEN...

    Raphaël Zacharie de Izarra

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  7. A juger ainsi je te trouve décevant.
    Tu n'est pas mieux que les gens que tu critique. Use de ton aisance littéraire pour écrire des articles constructif n'ayant pas unique but d'énerver les gens (même si tu dit que c'est salutaire).

    Pourquoi ne pas plutôt construire des critiques des gens qui génèrent cet état de fait que tu décrit plutôt de que critiquer ceux qui subissent? Je doit reconnaitre que c'est plus facile de faire comme toi. Bien plus facile d'énerver les gens sur un site que personne ne connait plutôt de que faire VRAIMENT quelque chose.

    Mon avis sur ton poste :
    Lez vociférations masturbatoires d'un pré pubère qui se prend pour un grand. (référence au faite que sur daily motion tu dit avoir plus de quarante ans. J'ai du mal a y croire toi qui confond un harmonium et un orgue. Toi qui ose dire que JS Bach c'est de la merde. Si tu avait vraiment ton age tu aurait dit que tu n'aimais, pas que ce serait de la merde. Si tu a vraiment ton age alors oublis ce que j'ai dit car c'est trop tard pour toi.

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  8. je rajouterai une chose apres avoir tout lut (commentaire compris)

    Syndrome de mégalomanie doublé d'un égoïsme presque paranoïaque. Va voir un psy l'ami !

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  9. "Pourquoi ne pas plutôt construire des critiques des gens qui génèrent cet état de fait que tu décrit plutôt de que critiquer ceux qui subissent?"

    Parce que ceux qui le génèrent n'ont que foutre d'un mécontentement et parce qu'adresser à eux les diatribes ne donnera lieu à aucun changement conséquent ?

    Parce que critiquer "ceux qui subissent" les pousse à se réveiller, piqués au vif, et à réfléchir sur leur sort et leur condition d'esclaves complaisamment abêtis, donnant alors du retord à "ceux qui génèrent" ?

    Il ne me semble pas qu'Izarra ait sorti des absurdités grotesques du genre "les SDF sont des bons à rien, ils passent leur journée dans la rue à ne rien foutre". Non ici on parle bien des gros beaufs dont se nourrit l'état parce qu'esprits dociles et endormis.

    C'est mon avis.

    Et puis s'il-te-plait, la prochaine fois soigne ton orthographe avant de donner des leçons de morale sur des écrits, c'est vraiment désagréable à lire et comme on dit : c'est le comble.

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  10. Ah ben voilà !

    Merci Raph, maintenant je sais pourquoi je ne me sentais pas très "normale" depuis tant d'années...

    Qu'est-ce que c'est bon de trouver des amis !

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  11. Alpha me semble oublier qu'on est toujours le Con (la Conne) de quelqu'un.
    "Et puis s'il-te-plaît, la prochaine fois soigne ton orthographe avant de donner des leçons de morale sur des écrits, c'est vraiment désagréable à lire et comme on dit : c'est le comble".
    Une telle suffisance ne peut venir que d'une snob (sans noblesse) Une vile roturière quoi ! Une citoyenne de base minable comme les décrit Izarra. Son intervention hargneuse du reste le prouve. Elle a détesté se reconnaître dans les écrits d' Izarra et de fait, pour dissimuler sa condition honteuse, approuve ses écrits. Ah ! miroir, mon beau miroir...

    Il me plairait de vous mépriser petite Alpha, je n'en ai hélas, pas le temps. J'espère que vous ne m'en voudrez pas.

    Anna-Belle

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  12. Ha! Ha! Quelle rigolade! Je découvre à peine ce blog et je trouve qu'on s'y marre pas mal. Le ton ultra poli qu'on tente d'y maintenir ne me plait pas beaucoup: je pense qu'il ne faut jamais dire "je n'aime pas ceci, ou cela", mais plutôt "c'est d'la merde"! Ceci dit, un ton très policé, conjugué avec des propos tranchants, voire dégueulasses, le contraste est efficace...
    Tu mens. Quand tu dis que tu t'adresses aux abrutis (pour les faire réagir ou changer, qu'importe), tu mens, ou tu TE mens. Un abruti comme ceux que tu décris-là ne viendra jamais sur ton blog. Il n'aura donc jamais l'occasion de réagir à ce que tu dis à son sujet. C'est mon avis.
    En revanche, quelle joie de lire les propos offensés de ceux qui ne sont pas totalement abrutis, mais qui n'ont pas la souplesse intellectuelle pour accepter qu'on débine les "petits". Après tout, décrire la connerie populaire est une proposition comme une autre, pas plus fausse que celle qui permet, à juste titre, de moquer la connerie aristocratique.
    J'ai noté ça, dans un commentaire:"Le mépris du peuple n'a jamais été subversif, c'est l'acte politique normatif absolu!" Je pense que c'est inexact, surtout depuis que la France est démocratique, et surtout depuis l'après-guerre. Inexact parce que nous avons ici une DECLARATION de mépris, une PAROLE qui se donne pour méprisante (+ ou -), alors que le mépris du peuple est TOUJOURS soigneusement caché. En clair, sil est vrai que le mépris du peuple est un des moteurs politiques de tous les pays, les démocraties, tirant leur légitimité du peuple, le masquent absolument. En revanche, proclamer qu'on méprise le peuple, ou simplement en critiquer les tares les plus visibles, à haute voix, est un acte inhabituel et, partant, certainement subversif. D'ailleurs, peut-on citer un seul courant politique qui dise agir CONTRE le peuple? Non. Jamais.
    Ceci, évidemment, ne signifie pas que je sois, ou non, d'accord avec le contenu de cet article.
    Pour aller plus loin philosophiquement, je poserai cette question: les constatations que tu fais au sujet du peuple t'amènent-elles à ne plus le considérer comme l'alpha et l'omega de la politique? Autrement dit, quand on voit le peuple de cette façon-là, peut-on encore lui reconnaître de la légitimité, et continue-t-on de le placer au centre de la politique? Démocrate, RZI?

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  13. REPONSE A BEBOPER,

    L'exercice démocratique est une attitude politique à haut risque. Mais cette prise de risque, c'est aussi le prix de la liberté.

    J'accepte de laisser prendre ce risque à des irresponsables qui pensent que l'avortement c'est la liberté, que le code pénal c'est la religion, que la majorité c'est la vérité...

    Que chacun fasse selon sa conscience, Dieu aura pitié des infirmes de la pensée. Je ne suis pas contre la démocratie, bien au contraire.

    Je suis juste contre le fait de donner le droit de vote à Bébert le garde-champêtre qui s'y connaît en art de gouverner comme je m'y connais en physique quantique ou à Dédé le "pinardier" du village aux idées politiques aussi pesées et réfléchies que le contenu de sa bouteille... Bref, deux incarnations ordinaires de l'abruti notoire qui ne devrait pas avoir sa place dans le débat public.

    Raphaël Zacharie de Izarra

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  14. Vos commentaires m'ont laissé bouche bée et perplexe. J'en déduis que vous êtes en dehors de cette ornière, que vos yeux et votre esprit se sont ouverts et que vous avez atteint un certain Nirvana existentiel et philosophique et ainsi échappé à un minable devenir. Expliquez-moi donc comment l'atteindre en n'étant pas un minus à l'âme atrophiée (sic) et comment avez-vous fait pour sortir de ce système que vous brûlez sur le bûcher, cela m'intéresse

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  15. Le "mépris"-ou semblant de mépris- peut être salutaire dans le sens ou il met le doigt sur la petitesse et la faiblesse humaine.

    Dans le sens ou:

    Il n'y a nul maître et aucune oppression sans esclaves ou opprimés consentant.


    La chose qui fait que que l'esclave ou l'opprimé
    perdure dans ce statut est l'abandon : c'est la faiblesse le laisser le refus de faire l'effort de s'élever pour se libérer en préférant l'abandon justement car cela est en tout point plus facile que le combat acharné de l'esprit.

    Dénoncer les puissants et les oppresseurs il le faut certes, mais ce qu'il faut encore plus c'est montrer du doigt le rapport entre l'esclave et le maître, en soulignant fortement le caractère servile de la petitesse des esprits, caractère servile servant l'oppresseur qui connaît l'art d'exploiter ces vils caractères présent et dominant les esprits faibles.

    Les "maîtres" savent tirer profits des caractères que l'on peut qualifier de: poisons dominant nombres d'esprits.

    Il faut absolument souligné cela pour que ces potentiels esprits dominés par leur bêtise sachent justement ce qui les enchaînes et puissent combattre les bonnes choses pour finalement pouvoir se libérer.


    L'écriture comme la lecture peuvent être toute deux maladroite, mais je pense que l'effort de compréhension doit être fait de la part du lecteur comme de la part de l'auteur.



    Tirpse ed EHCUONAM

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  16. Taper sur les "puissants" ne résout pas les prolbèmes


    Dire: BOuhhhhhhhhh les méchants dictateurs c'est bien !


    Mais pas suffisant !

    Car en attendant ils sont toujours au pouvoir.


    Et s'ils le sont c'est que la faiblesse présent chez l'être leur rend bien service et leur permet de conserver leur statut.

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  17. Il faut combattre la médiocrité et la faiblesse en tout point.

    Izarra à donc raison de donner des gifles bibliques !

    Au lieu de donner caresses et fausse compassion !

    On ne peut pas obtenir sa liberté en la réclamant à un méchant oppresseur, celui ci ne vous la donnera jamais puisque il a que trop besoin d'esclaves.

    La liberté se prend en prenant conscience de sa captivité et en se libérant soi même en faisant tout les efforts nécessaires à ce dessein !

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